Un gynécologue suspendu pour avoir refusé d’exa miner un homme prétendant être une femme : la dérive totalitaire de la pensée unique face à la liberté médicale
La sanction infligée au docteur Victor Acharian marque une étape supplémentaire dans la répression idéologique qui gangrène la France. Ce gynécologue palois, suspendu un mois pour avoir refusé d’examiner un homme prétendant être une femme, devient malgré lui un symbole : celui d’une profession médicale soumise aux dogmes du progressisme forcené. Pendant que les États-Unis amorcent un retour à la liberté d’expression et au bon sens, la France, elle, s’enfonce dans une véritable terreur morale où la loi de la censure et des procès politiques étouffe tout débat rationnel.
Un médecin sanctionné pour avoir fait preuve de bon sens
En août 2023, le Dr Acharian reçoit une demande de consultation sur Doctolib. Une patiente trans se présente à son cabinet accompagnée de son compagnon. Dès l’accueil, la secrétaire est confrontée à une situation inédite : ce patient ne correspond pas aux cas habituellement traités en gynécologie. Le médecin, dans un souci d’honnêteté et de compétence, explique qu’il ne peut pas prendre en charge ce type de cas, orientant la personne vers des spécialistes mieux formés pour répondre à ses besoins. En somme, un professionnel qui refuse d’improviser hors de son domaine de compétence, un principe fondamental de toute déontologie médicale.
Mais voilà, dans la France de 2025, il ne suffit plus d’exercer son métier avec rigueur. Il faut se soumettre au dogme gauchiste. Il faut accepter l’idéologie du genre comme une vérité scientifique et ne jamais remettre en question ses injonctions. Le refus du Dr Acharian, logique et justifié d’un point de vue médical, est immédiatement dénoncé comme un acte de « transphobie ». Des associations militantes, qui font aujourd’hui la loi, s’emparent de l’affaire et déclenchent un déferlement médiatique et judiciaire contre le praticien.
L’Ordre des médecins : un bras armé de la répression idéologique ?
Le conseil régional de l’Ordre des médecins, loin de défendre l’indépendance et la liberté de choix des praticiens, se plie servilement aux injonctions des militants. Six mois de suspension, dont un mois ferme, sont infligés au gynécologue, condamné pour ne pas avoir cédé aux pressions.
Le message est clair : dans la France de 2025, les médecins n’ont plus le droit d’exercer leur libre arbitre. Désormais, ils doivent suivre la ligne dictée par les militants transactivistes sous peine de voir leur carrière brisée. Et qu’importe si ces décisions vont à l’encontre de toute rationalité médicale. La justice n’est plus là pour protéger les citoyens, mais pour faire régner une terreur idéologique.
L’Amérique se libère, la France s’enfonce dans l’absurde
Pendant que l’Hexagone impose la soumission aux dogmes progressistes, les États-Unis amorcent un retour au bon sens. Après des années d’hystérie wokiste, la vague conservatrice gagne du terrain, notamment sur la question du genre. Plusieurs États interdisent désormais les transitions de mineurs et protègent les professionnels de santé refusant d’accomplir des actes contraires à leur conscience. Le droit à la dissidence est restauré, et les médecins ont la possibilité d’exercer leur métier sans craindre d’être traînés devant les tribunaux pour ne pas avoir validé les lubies idéologiques d’une minorité bruyante.
En France, en revanche, les procès politiques se multiplient.
L’affaire ne s’arrête pas là. Une enquête pénale est toujours en cours contre le Dr Acharian. Car oui, en France, on peut désormais être poursuivi au pénal pour avoir dit qu’un homme reste un homme.L’inversion totale des valeurs atteint son paroxysme : alors que des criminels multirécidivistes sont laissés ou remis en liberté sous des prétextes parfois délirants, un praticien compétent est traqué pour avoir refusé de mentir.
Les associations LGBT se félicitent de cette décision, prouvant une nouvelle fois qu’elles sont devenues des groupes de pression redoutablement efficaces pour imposer leur vision du monde. Loin de défendre des droits, elles s’érigent désormais en censeurs, détruisant méthodiquement toute résistance à leur idéologie.
L’affaire du Dr Acharian montre que le combat pour la vérité et la liberté est loin d’être terminé. Mais face à la censure et aux procès politiques, un espoir demeure : lorsqu’un système devient trop oppressif, il finit toujours par s’effondrer sous le poids de ses contradictions.
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