Des chiffres qui bouleversent les idées reçues

Un rapport récent des Police Criminal Statistics (PKS) en Allemagne modifie radicalement la vision traditionnelle sur la criminalité en dresser un portrait bien différent de ce que l’on croit.

traditionnelle sur la criminalité en dresser un portrait bien différent de ce que l’on croit.

Des chiffres qui bouleversent les idées reçues

Selon les données 2024, pour 100000 habitants, 272 hommes allemands sont suspectés d’infractions violentes. En revanche, plusieurs catégories de femmes étrangères dépassent nettement ce ratio :

  • 336 Syriennes
  • 359 Afghanes
  • 371 Serbes
  • 394 Irakiennes
  • 359Bulgares

À titre de comparaison, seulement 60 femmes allemandes sont suspectées pour crimes violents. Ce constat inattendu remet en question le stéréotype selon lequel les hommes seraient systématiquement à l’origine de la violence. Il met en lumière la réalité : au sein de certaines communautés immigrées, même les femmes participent significativement au phénomène de violence.

Et quid des hommes ? Une réalité choquante

À l’échelle masculine, les contrastes sont saisissants :

  • 2608 Syriens
  • 2479 Irakiens
  • 2409 Afghans
  • 3388 Marocains

Ces chiffres représentent une surreprésentation de plus de 900 à 1100% par rapport à la population masculine allemande. Les hommes originaires de pays comme la Syrie ou le Maroc présentent des taux de suspicion pour crimes violents 9 à 12 fois supérieurs à ceux des Allemands natifs.

Une faillite des politiques migratoires ?

Les autorités allemandes commencent timidement à reconnaître l’ampleur du phénomène. Mais, en France et ailleurs, peu s’interrogent sur les choix politiques ayant permis des vagues d’immigration sans contrôle effectif.

Pourquoi accueillir des populations à risque sans dispositifs de sélectionintégration, ou suivirenforcés ? Un débat importe : pourquoi la violence importée est-elle une donnée presque occultée dans les discours officiels?

Ce constat met un miroir cru devant nos sociétés : l’immigration massive, sans adaptation ni tri, peut faire naître des tensions durables. À l’heure où les fractures sociales se creusent, où notre modèle repose sur la cohésion républicaine, ces données ne sauraient être ignorées.

Le débat est lancé : assumer la réalité statistique pour mieux orienter les politiques migratoires ou se retrancher dans un discours idéologique déconnecté des faits ?

 

© Robert Hivon 2014     twitter: @hivonphilo     skype: robert.hivon  Facebook et Google+: Robert Hivon