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58. La condescendance dont Grégoire VII fit preuve en cette occasion témoignait assez de ses favorables dipositions à l'égard du roi de Germanie. Tous les pères du concile en furent témoins et purent se convaincre de la sincérité et de la droiture des intentions du grand pontife, en le voyant écarter tout ce qui aurait pu éveiller les susceptibilités d'un jeune prince qu'il s'efforçait de ramener dans les voies de la justice et de la vertu. Grand nombre d'affaires particulières et de conflits soulevés dans les diverses églises d'Italie, des Gaules et d'Allemagne furent examinées et tranchées par le concile, ainsi que le prouvent les lettres écrites in synodo par Grégoire VII. Dès le quatrième jour de l'assemblée synodale (14 mars 1074) le pape signifie à Arnald abbé de Saint-Sever dans la province ecclésiastique d'Auch, que malgré l'invitation du légat Gi-rald, ne s'étant pas rendu au concile pour y démontrer la valeur
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1. Le diocèse de Die faisait partie du royaume de Bourgogne sur lequel, ainsi qu'on l'a vu précédemment, la couronne de Germanie prétendait encore exercer la suzeraineté féodale. C'est à ce titre que les représentants du roi s'opposaient au sacre du nouvel élu. Quant à l'évêché de Lucques, il faisait partie des états italiens relevant de la juridiction temporelle du royaume d'Allemagne.
2.Hugo Flaviniac. Chronic. Lia. II; Patr. Lat. Tom. CLIV, col. 274-277.
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de ses prétentions sur l'église de Sainte-Marie, le synode l'avait provisoirement adjugée au monastère de Bordeaux. Dans le cas où il aurait des objections à faire contre cette sentence il lui était accordé un délai jusqu'à la Toussaint pour se rendre à Rome et y être jugé contradictoirement avec l'abbé de Sainte-Croix 1. Une lettre adressée à l'archevêque de Reims Manassès nous donne une triste idée de la conduite de ce métropolitain. Manassès ou Manassé de Gournai, proche parent du roi de France Philippe I à qui il devait sa promotion, n'était qu'un tyran féodal costumé en évêque. « L'église romaine a toujours usé de miséricorde envers vous, lui disait Grégoire. Nous même, lors de votre élection au siège de Reims, nous avons travaillé à la faire ratifier par le siège apostolique. Aussi notre douleur s'aggrave du sentiment de notre responsabilité personnelle, toutes les fois qu'on nous signale les excès par lesquels vous compromettez l'honneur de votre dignité. Vos injustes entreprises contre le monastère de Saint-Remi sont du nombre. On nous assure toutefois que vous êtes disposé à réparer vos torts et à permettre aux religieux de se gouverner suivant la règle de saint Benoît. J'en rends grâce au ciel et je vous félicite. Tenez pour certain que je m'intéresse autant à la régularité et à la paix de ce monastère qu'à celles de Saint-Paul-hors-les-Murs dont j'ai conservé la direction 2. » Le point précis du débat tenait à ce que Manassès s'opposait à l'élection canonique d'un abbé de Saint-Remi. Il demeurait ainsi plus libre d'opprimer le monastère et d'en usurper les revenus. Afin de colorer son usurpation il avait déterminé l'abbé de Saint-Arnoul de Metz à accepter le titre nominal d'abbé de Saint-Remi. Le pape écrivit donc à ce sujet à l'évêque de Metz Hérimann, dont la pieuse et sage administration contrastait heureusement avec les violences tyraimiques de Manassès. «L'abbé de Saint-Arnoul, lui dit-il, nous a donné, en tant que besoin était, sa démission de titulaire de Saint-Remi. Veuillez donc notifier cette renonciation à l'archevêque de Reims, en sorte qu'on puisse, selon
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1 S. Greg. VIL Epist. u. Lib. Epist. I, coL 330. t lu, col. 331.
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les ordres que je lui transmets, procéder à l'élection canonique d'un nouvel abbé de Saint-Remi 1. » Le 16 mars, toujours en synode, Grégoire VII mandait aux chanoines de Saint-Hilaire de Poitiers d'avoir à cesser l'opposition introduite par eux contre leur évêque et contre les chanoines de la cathédrale auxquels ils refusaient de célébrer la messe dans leur église durant les processions solennelles des Rogations 2. Le même jour, il écrivait sous forme d'encyclique aux évêques suffragants de la province métropolitaine d'Auch une lettre conçue en ces termes : « Le légat de la sainte église romaine notre frère et coévêque Girald d'Ostie, lors de son voyage dans les Gaules, vous avait déjà rappelé à vos devoirs de légitime obéissance envers votre vénérable archevêque Guillaume 3. Vous n'avez jusqu'ici tenu aucun compte de cet avertissement et Guillaume lui-même est venu se plaindre à nous de votre insubordination. Bien qu'elle constitue une faute grave contre la discipline ecclésiastique, nous voulons encore user envers vous de mansuétude, mais en vertu de notre autorité apostolique nous vous enjoignons de rentrer dans le devoir de l'obéissance. Si vous avez quelque grief à articuler contre votre métropolitain, venez les discuter avec lui en notre présence et ne doutez pas de l'impartialité avec laquelle nous prononcerons le jugement 4. »
59. D'après ces lettres synodales de Grégoire VII on peut voir que le concile romain de 1074 eut une importance bien plus considérable que M. Villemain ne le suppose et qu'il n'était pas uniquement composé des évêques d'Italie. Le 17 mars, encore in synodo, le pape écrivait à l'évêque simoniaque de Chalons-sur-Marne, Roger III, l'admonition suivante : « Philippe roi des Francs qui vous porte le plus vif intérêt nous prie instamment et par ses lettres
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1. Epl.it. lui, col. 332.
22 Epist. Liv, col. 337.
3.Guillaume I de Montaut successeur de saint Austende sur le siège archiépiscopal d'Auch (10GS-1078). Par la teneur de la lettre pontificale, on voit que Guillaume assista en personne au concile romain de l'an 1074. C'est donc à tort que certains auteurs font mourir cet archevêque en 1073.
4. S. Greg. VII. Epist. ly, Lib. 1, col, 333.
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et par ses représentants, tum per litteras tum per legatorum verba 1, de vous absoudre des censures que vous avez encourues. Mais nous ne saurions le faire sans enfreindre toutes les règles de la justice; loin d'avoir mérité une indulgente absolution vous avez aggravé votre culpabilité par de nouveaux excès. Voulant toutefois user encore de miséricorde à votre égard, nous vous donnons jusqu'à la Toussaint pour avoir à vous présenter en personne à notre tribunal. Passé ce délai, si vous ne répondez point à cette dernière citation, vous serez irrévocablement frappé d'une double sentence de déposition et d'a-athème 2. » Parmi les évêques lombards sur la présence desquels le pape aurait dû plus particulièrement compter, se trouvait Guillaume de Pavie dont on se rappelle les récentes protestations de fidélité et de dévouement 3. L'évêque de Pavie ne parut cependant pas au concile. Le motif qui le retint n'était guère honorable. Cet ambitieux prélat avait marié sa propre sœur au marquis d'Esté Azzo, son parent au degré prohibé. L'affaire ayant été déférée au jugement du synode, Azzo demanda délai pour présenter sa défense. Le pape écrivait en même temps (17 mars) à l'évêque de Pavie pour le prier de se rendre immédiatement à Rome afin de fournir les explications nécessaires. «Votre fraternité, lui dit-il, peut compter sur le plus favorable accueil de notre part. Nous n'avons d'autre intention, avec l'aide de Dieu, que d'examiner mûrement la cause, afin de prendre la décision la plus juste et la plus utile au salut de deux personnes qui vous touchent de si près 4. » Malgré cette pressante invitation, Guillaume ne quitta point Pavie 5 et l'affaire n'eut une solution définitive qu'au concile de l'année suivante où l'évêque contumace refusa encore de comparaître. Il semble que personnellement le marquis d'Esté avait été de bonne foi en contractant l'union dont on contestait la légitimité. Il jura devant le
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1. On voit dès lors que Philippe I s'était aussi fait officiellement représenter au concile romain.
2. Epist. lvi. col. 334.
3. Cf. N° 17 du présent chapitre.
4. Epist. lvii, col. 334.
5. Cf. Epist. x et iiiy, Lib. 2%%II, col. 370 et
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concile et fit sermeut entre les mains du pape de se conformer au jugement à intervenir 1. Cette circonstance explique comment le jour même où Grégoire VII écrivait à Guillaume de Pavie la lettre qu'on vient de lire il donnait à Azzo une marque éclatante de confiance et d'estime. Les ambassadeurs de Geisa, duc de Hongrie, étaient venus apporter au pape des lettres pleines de soumission et de déférence pour le siège apostolique. Lecture en fut donnée au concile ; le pape répondit en ces termes : « Ne doutez point de notre affection paternelle; vous nous trouverez toujours prêt à seconder de notre autorité apostolique toutes les mesures qui intéressent la prospérité de votre royaume, votre salut en ce monde et en l'autre. Vous pouvez choisir comme intermédiaire près de nous l'illustre marquis Azzo, qui nous est particulièrement cher entre tous les princes d'Italie ; il se chargera de porter à notre audience apostolique toutes les causes que vous aurez à y déférer1. »
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1. Marchionem Azzonem in synodo nobis promisisse et fidem in manum net-tram dédisse. (Epist. x, Lib. II, col, 370.)
2.Epist. LYM, Lib. Defensio I, col. 335. — Bossuet dans la (Tars. i, Lib. I, Sect. i, cap. nv, éd. Lâchât, Tom. XXI, p. 177), et après lui M. Villermin (Ilist. de Greg. Vil, Tom. I, p. 123-124) se montrent fort scandalisés de cette lettre du grand pape. On sait que le royaume de Hongrie avait été fondé par saint Etienne I et institué par Sylvestre II en l'an 1000 sous la condition d'être à perpétuité tenu en fief du siège apostolique, (Cf. Tom. XX de cette Histoire, p. 367.) La bulle d'institution donnée par Sylvestre II et fidèlement reproduite par nous ne laisse aucun doute à cet égard. Saint Etienne I mourut en 1038, sans laisser d'enfants. Son neveu Pierre dit l'Allemand à cause de ses relations intimes avec l'empereur Henri III de Germanie, lui succéda et se fit tellement exécrer par sa cruauté et ses exactions que les Hongrois le déposèrent (1041) et donnèrent la couronne au prince Aba, beau-père de saint Etienne. Rétabli en 1044 par l'empereur Henri dont il s'était reconnu le tributaire et le vassal, Pierre fut définitivement chassé du trône en 1047. Ses sujets exaspérés lui crevèrent les yeux, et le jetèrent dans un cachot où il mourut après trois jours d'atroces souffrances. André I, l'un des chefs hongrois récemment convertis à la foi chrétienne, fut élu ponr lui succéder. Il fut détrôné en 1061 pas son frère Bêla qui régna deux ans seulement et mourut en 1063 laissant un fils nommé Geisa, celui auquel Grégoire VII adressait la lettre qu'on vient de lire. Geisa succéda anx états paternels pendant que son cousin Salomon l fils d'André I, réfugié à la cour de Henri IV et marié à Judith sœur de ce prince,
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60. Le lendemain 18 mars, l'affaire de l'évêché d'Olmutz militairement envahi par le prince évêque de Prague Jaromir 1 fut portée au concile. Pour éluder la citation canonique qui l’appelait à comparaître en personne soit au tribunal du pape soit devant les légats du saint-siége, Jaromir avait imaginé d'interjeter appel auprès de Sigefrid archevêque de Mayence dont il était le suffragant, Sigefrid par une lâche complaisance s'était prêté à cette manœuvre et avait osé écrire au pape que le jugement définitif lui appartenait en qualité de métropolitain. « Nous n'aurions pu croire à une pareille audace de votre part, lui répondait Grégoire VII, si vos lettres n'en faisaient foi. Il paraît que les consulteurs dont vous avez suivi les avis connaissent fort mal ou méprisent étrangement les droits du siège apostolique. Nous invitons votre fraternité à étudier les saints canons et les décrets des saints pères ; elle comprendra alors la portée de sa faute. Ne voulant cependant point user envers vous d'une rigueur que vous auriez trop méritée, nous vous avertissons de ne plus renouveler de pareilles entreprises contre l'église romaine, sans l'autorité de laquelle, comme vous le savez, vous ne pourriez vous-même garder votre titre métropolitain 2. » Les violences des évêques simoniaques contre les églises et les monastères, leur tyrannie contre les diocésains et réciproquement les révoltes des peuples contre des titulaires indignes produisaient partout des conflits. L'évêque de Sisteron, Girald, s'était emparé de l'église de Croscia (Croscia-Ococia) en avait
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essayait vainement de lui disputer la couronne. Comme jadis Pierre l'Allemand, il offrait à Henri IV son heau-frère de reconnaître sa suzeraineté s'il l'aidait à reconquérir le trône de Hongrie. Naturellement aux yeux des adversaires de Grégoire VII Salomon revêt le caractère d'un roi légitime, et Geisa n'est qu'un infâme usurpateur. Grégoire VII, disent-ils, n'avait aucunement le droit de s'immiscer dans les affaires de Hongrie. Salomon était libre de se reconnaître le vassal de n'importe quel souverain. Toutes ces récriminations sont autant d'erreurs historiques. La question de légitimité n'existait pas en un pays où le pouvoir était électif. La suzeraineté sur le royaume de Hongrie appartenait juridiquement au saint-siége. Salomon n'avait aucunement le droit de modifier sans le consentement dn pape et des Hongrois une situation garantie par les traités les plus solennels.
1. Cf. N° 27 de ce présent chapitre.
2. Epist li, Lib I, col. 336. Cf. Epi&t. lu et lxi ibid.
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chassé les prêtres, saisi less domaines et pillé les vases sacrés 1. Frotaire de Nîmes agissait à peu près de même envers l'abbaye de Saint-Gilles 2, et Isembert de Poitiers à l'égard du prieuré de Nobiliacum (Noaillé) dépendant de l'abbaye de Saint-Hilaire3. A Beauvais le peuple s'était révolté contre Guillaume son évêque, prélat exemplaire dont le roi Philippe I ne pouvait souffrir les apostoliques remontrances 4. Les mêmes désordres se reproduisaient en Italie. A Rieti, les religieux de Saint-Quirice s'étaient emparés des domaines de Rainier leur évèque 5 ; à Raguse, l'évêque Vital saisi dans une émeute populaire avait été jeté pieds et mains liés au fond d'un cachot et une élection tumultuaire lui avait donné un intrus pour successeur 6.
61. A la vue de tant d'horreurs étalées sous ses veux durant ce premier concile, Grégoire VII éprouva un sentiment de tristesse amère, voisin du découragement. Il s'en ouvrit dans une lettre confidentielle adressée le 19 mars à saint Hugues, abbé de Cluny. « Pourquoi, lui dit-il, vous borner à m'écrire de loin des paroles de consolation, quand mon unique consolation serait de vous avoir en ce moment à mes côtés? Craindriez-vous le labeur et la fatigue? Je vous attendais à l'époque où je fis partir notre frère Girald évêque d'Ostie en mission près du roi d'Allemagne. Du fond du cœur, au nom de notre affection intime, je vous prie de venir au plus tôt me visiter au milieu de l'océan d'angoisses où se plonge mon âme. Seul, malgré mon infirmité, seul, malgré l'insuffisance de mes forces physiques et morales, je porte en ce temps d'orages et de troubles le fardeau des affaires spirituelles et temporelles du monde entier. Je tremble de succomber sous un poids que personne en ce triste siècle ne m'aide à soulever. Par le Seigneur Dieu tout puis-
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1. Epitt. lvh, col. 242. Cet évêque porte, dans les listes de la Gallia Christinna le nom de Giraud-Chevrier.— 2 Epitt. lmvih, col. 342.— 3 Epist. lxxii, col. 3:0. — 3. Epist. lxxiv et lxxv, col. 347. 348. — 4. Epist. lxv, col. 341.
5. Epist. lïxv, Lib. l'Histoire de Grégoire VII I. col. 341. On chercherait vainement un trait quelconque de ces affreux désordres dans par M. Villemain. La tactique des adversaires de l'immortel pontife consiste à garder le plus profond silence sur les excès qu'il eut à combattre, afin de le représenter comme un génie inquiet, provocateur et despotique.
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sant, je vous en supplie, priez et faites prier pour moi tous les frères de votre pieuse congrégation; sans leurs prières et les vôtres, sans l'intercession des fidèles qui attireront sur nous la bénédiction divine, je ne vois pas moyen de conjurer les périls qui menacent la sainte église l. » Au moment où Grégoire VII parlait ainsi, il venait d'apprendre que Robert Guiscard, foulant aux pieds les promesses les plus sacrées, venait de violer le serment prêté par lui au pape Nicolas II 1. Vassal de l'église romaine qui l'avait créé duc d'Apulie, de Ca-labre et de Sicile, l'infidèle normand retournait contre le saint-siége la puissance qu'il en avait si humblement sollicitée au concile d’Amalfi. Avec son armée, il avait envahi le fief ponlifical de Bénévent et faisait alors le siège de cette ville. Avant d'entreprendre cette injuste agression, Robert Guiscard, esprit délié et fin politique autant qu'intrépide guerrier, avait dû se ménager de secrètes alliances. Quelles étaient-elles? Le pape l'ignorait encore. L'orage éclatait du côté où il l'avait le moins prévu. Soumise au concile durant les derniers jours de ses délibérations, cette grave affaire dut y jeter la consternation et l'effroi. A l'unanimité une sentence répressive dont nous n'avons plus la teneur intégrale prononça la peine d'excommunication et d'anathème jusqu'à résipiscence contre Robert Guiscard et tous ses fauteurs3. Ce coup de foudre termina le concile romain de 1078. Il effaça en quelque sorte la joie que Grégoire VII avait éprouvée en recevant les ambassadeurs de Guillaume le Conquérant qui l'assurait de son dévouement à l'Église 4 et ceux des rois espagnols Sanche-Rumirez d'Aragon, Alphonse VI de Castille, Sanche IV de Navarre, qui venaient de rétablir la liturgie romaine dans leurs états 3.
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1. Epist. lui, col. 338. — 2. Cf. Chap. III de ce présent volume N» 48. 3. Epist. Lib. I, col. 358.
4.. EpUt. lu. lu. Lib. I, col. 344-345. 5.. Epist. mu, liiv, Ibia. coi. 339-340. Cf. Guéranger. Instit. Liturg. Tom. I, p. 282.
FIN DU VINGT ET UNIÈME VOLUME.