Canada. De la lecture aux enfants par des « drag queens » suscite des protestations [Vidéo]
La lectur
e de contes pour enfants par des « drag queens » est une lubie qui tend
également à se répandre au Canada. Une ville québécoise proche de Montréal
vient de connaître une polémique tandis que dans l’Ontario voisin, les
sociaux-démocrates réclament l’interdiction de protester contre les spectacles
de « drag queens ».
Au Québec aussi, « drag queens » et contes pour enfants
Curieuse mode que cette volonté d’imposer la vue de « drag queens » aux enfants dans divers pays européens (y compris en Bretagne), mais aussi outre-Atlantique. Au Canada, la ville québécoise de Sainte-Catherine (située dans la proche banlieue de Montréal) a organisé une activité de contes pour enfants animée par une certaine « Barbada », présentée comme étant une « drag queen, le dimanche 2 avril dernier, comme l’a rapporté le média Radio-Canada le même jour.
Une initiative qui a suscité un mouvement de colère populaire mais la municipalité a toutefois maintenu l’événement dans un lieu secret tandis qu’une manifestation de plusieurs dizaines d’opposants sur fond de klaxons était encadrée par la police.
Un grand nombre de personnes a exprimé sa désapprobation envers cette activité, intitulée « L’heure du conte avec Barbada ». Au sujet de celle-ci, le site Internet de « l’artiste » précise qu’il s’agit d’un programme « ludique et sympathique » visant « à amener les enfants à s’ouvrir à la différence, et à développer l’amour de la lecture et des livres ».
Sur la vidéo ci-dessous, datant de 2019, on peut voir cette « drag queen » québécoise faire de la lecture de contes devant une soixantaine de parents et d’enfants à la bibliothèque de Pointe-aux-Trembles, un quartier de Montréal :
Une drag queen enseignant à l’école primaire
En effet, toujours selon le site Web de l’intéressée, cette dernière anime des activités similaires dans des bibliothèques, des librairies et des garderies au Québec depuis 2016, pour un public de 3 à 8 ans. Elle anime également une émission jeunesse, la série Barbada, diffusée sur ICI TOU.TV.
Environ 20 familles se sont inscrites pour cette lecture organisée par la ville de Sainte-Catherine, qui n’a pas manqué l’occasion d’utiliser cet événement pour faire un peu de propagande « woke » au passage. La directrice des communications de la mairie Amélie Hudon a ainsi affirmé que « la libre expression est une valeur importante », ajoutant que l’exécutif municipal était « très fier d’avoir tenu cette activité qui valorisait la tolérance, la diversité, une société inclusive exempte de discriminations ».
À noter également que l’homme qui se cache derrière le personnage de Barbada, un dénommé « Sébastien Potvin » à l’État civil, est par ailleurs enseignant en musique au primaire…
Interdiction de contester les « performances de drags queens » ?
Plus largement, le Québec n’est pas la seule province canadienne voyant les « drag queens », jadis cantonnées aux cabarets, occuper de plus en plus de place dans l’actualité… et dans l’éducation des enfants.
Dans l’Ontario voisin, les sociaux-démocrates ont demandé le 4 avril dernier au gouvernement d’établir des zones de sécurité dans lesquelles il ne sera plus possible de protester contre les spectacles de « drag queens ». Les « performances de drags queens » seraient de plus en plus souvent la cible de protestations organisées aux Etats-Unis, mais aussi au Canada, a déploré la députée Kristyn Wong-Tam, qui a présenté une proposition de loi en ce sens.
Kristyn Wong-Tam.
Source : capture Twitter
Selon le projet, il serait possible de désigner temporairement certaines adresses où se déroule un tel spectacle comme zones de sécurité pour la communauté et d’infliger une amende pouvant aller jusqu’à 25 000 dollars pour « harcèlement, intimidation et discours de haine anti-LGBTQ » dans un rayon de 100 mètres.
Pour mieux comprendre le contexte, il n’est pas inutile de relever que la députée Kristyn Wong-Tam se définit comme « non-binaire » et exige l’utilisation des pronoms « they/them » pour la désigner.
Enfin, au mois d’août 2022, le Premier ministre canadien Justin Trudeau avait déjà présenté un « plan d’action 2SLGBTQI » prévoyant l’investissement de 100 millions de dollars canadiens. La majeure partie des fonds, 75 millions de dollars, serait allouée aux « organisations communautaires 2SLGBTQI+ », la priorité étant donnée à celles qui « subissent une marginalisation supplémentaire », comme « les communautés noires, racialisées et autochtones 2SLGBTQI+ ».
Crédit photo : capture YouTube (photo
d’illustration)
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- Tags : Barbada, canada, drag queens, Kristyn Wong-Tam, Québec, transgenres
3 réponses
1.Gaï de ROPRAZ dit :
J’habite au Canada (Toronto), et cette histoire de Drag-Queen me revolte. Que Trudeau s’en mêle et favorise cette déchéance humaine, je n’en ai rien à carrer. Lui, c’est un fils-à-papa qui n’a pas grand chose dans le ciboulot en dehors de l’attrait pour le pognon. Il a tout juste la chance de vivre dans un pays de rêve, avec une population inferieure à 50% de celle de la France, dans un pays qui est plus de 10 fois plus grand que le Notre. En revanche, favoriser, ou accepter une/un drag-queen dans une école de gosses en bas-age, qui leur enseigne quoique ce soit, ou leur raconte des histoires d’une voix fluette tout en tortillant du cul, est un crime. Quel est le parent qui, à la naissance de son enfant, prie Dieu que ce soit un transgenre ?… Bref, cette présence néfaste dans un lycée ou collège est une aberration. Mais ce qui me révolte encore plus, c’est qu’il existe des parents qui poussent leurs gosses dans les bras de ces monstres humains. Ce sont eux les Vrais Assassins !
2.etienne boutonnet dit :
Je n’aurai pas toléré cela pour mes enfants. Chacun est libre d’élever et d’éduquer ses enfants comme il le souhaite avec ses propres valeurs.
3.gautier dit :
Trudeau, Macron, et bien d’autres moins connus, sont des pervers aux ordres de Soros et des mondialistes islamo-gauchistes qui veulent par tous les moyens detruire nos religions et nos façons d’etre ! des gens normaux avec des lignes de conduites entre parents et enfants ! ce qui me derange, ils sont des milliers à vouloir nous faire changer de moeurs, nous sommes des centaines de millions de gens à ne pas vouloir, et on se laisse faire !! sommes nous tous cons et aveugles à accepter !!
