1. Le calcul est facile à contrôler, Chrysostome étant né en 344.
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p334 PONTIFICAT DE SAINT INNOCENT I (401-417).
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p335 CHAP. III. — CHRYSOSTOME ET LA CRITIQUE MOCERKE.
1 Pallad., Dialog. de Vita S. Joan. Chrysot., cap. I; Patr. grcsc, tom. XLVII. col. 7, 8.
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p336 POSTIFICAl iTS SAINT INNOCENT I (401-417).
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p337 CHAP. III. — C11RÏS0STOME ET LA CRITIQUE MODERNE.
4. Pallad., Dialog. de Tita S. Joan. Chrys., cap. iv; Pair, grac, tom. XLV1I, toi. 16-13.
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p338 JONTÏFICAT DE SAINT INNOCENT I (401-417).
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p339 CHAP. ni. — CflRYSOSTOJIE ET LA CRITIQUE MODERNE.
1 Pallad., Dialog. de Vita S. Jocm. Chrys., cap. IV; Pair, grœc, tom. XLVir, col. 78; 79.
3. Cf. le portrait de saint Chrysostome, par M. Thierry, n° 16 de ce présent chapitre, p. 295.
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p310 PONTIFICAT DE SAINT INNOCENT I (401-417).
objection moins injurieuse dans les termes, mais équivalente dans le fond. Il disait : «Comment le patriarche Théophile, un homme dont vous reconnaissez l'habileté, a-t-il pu s'opposer à la consécration épiscopale de Chrysostome? Comment ne voyait-il pas qu'en s ‘opposant à l'élection d'un tel sujet, il allait soulever l'opinion contre lui ? Il faut donc admettre que Théophile n'était pas seul de son parti, et qu'il avait par devers lui des raisons considérables 1. » — Ou nous nous trompons étrangement, ou ces deux objections, l'une du diacre Théodore, l'autre de la critique moderne, sont exactement les mêmes. L'une a engendré l'autre ; la seconde a reproduit la première, avec cette différence toutefois que la critique moderne s'est dispensée de faire connaître la réponse. Cependant Palladius répondait au diacre Théodore que l'unique opposition qui se fût produite au sacre de Chrysostome avait été celle du patriarche Théophile d'Alexandrie; celle-là seule, pas une autre. Que si la critique moderne ne voulait pas s'en rapporter sur ce point au témoignage catégorique de Palladius, elle avait celui de Socrate, autre chroniqueur contemporain, témoin oculaire, et dont la critique moderne fait grand cas pour des raisons que nous dirons bientôt. Or, Socrate nous déclare que Chrysostome, combattu en effet par Théophile d'Alexandrie, avait été élu à l'épiscopat de Constantinople «par le suffrage unanime de tous, je veux dire par le clergé aussi bien que par le peuple : » YriitsuaTi v.otvw ô[j.oû m7.v™v, Y.l-fifdM -c£ <fr,[« xaî >.ao3 \ Est-ce clair? Sozomène, autre historien et témoin également oculaire, tient absolument le même langage. Nous l'avons reproduit précédemment in extenso ; nous le rappelons pour mémoire. Voici ses paroles textuelles : Tr.çisajuvtov £s touto tqv ).aoû, xai tou %Ay(pou, y.ai ô PacO.eù; cjv^vsi, y.ai toù; a^ovta; aÙTOv *eKÔ,u.x». EuvewxXei SI xotï cûvoSov, xat toûtw <7E[ivoTÉpav xrçv y_Eipo"c<mav GEL/.vûr.
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p341 CHAP. III. — CHRÏS03TOJIE Eï LA CRITIQUE 1I0DERKB.
1 Sozomen., Bist. eccksn lib. Vill, cap, n; Pair, greee, tom. LXV1I, c<^
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p342 PONTIFICAT DE SAINT INNOCENT I (401-417).
1 Pallail., Vialog. efe Yita S. Joan. Chrytost., cap. IV; Pair, grac, toia. clt._ •ol. 16.
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